18 avril 2014

en forêt de bercé ( SARTHE) 200 hectares ravagés par le feu



Mobilisés depuis mardi après-midi, les pompiers lèvent le dispositif déployé en forêt domaniale de Bercé, dans le sud-est de la Sarthe, où un incendie criminel a ravagé 200 hectares de bois. Ce jeudi soir, seul un camion-citerne tout-terrain reste sur la zone.Le feu a pris en trois endroits différents et s'est propagé rapidement, en raison d'un sous-bois sec et d'un fort vent d'est.Au plus fort de l'intervention, 200 pompiers ont lutté contre les flammes, qui ont principalement touché des résineux. Les arbres les plus âgés ont été plantés il y a une trentaine d'années.« Les lisières sont bien traitées, avec des produits qui détrempent le sol. Des sapeurs forestiers ont aussi pioché pour défaire des blocs de tourbe qui se consumeraient », indique Patrice Chagnoleau, l'un des cinq gardes forestiers chargés de l'entretien de la forêt de Bercé.Ce week-end, les gardes forestiers patrouilleront dans les chemins qui quadrillent la forêt, assurant notamment des tournées de nuit. Ils vont devoir rassurer les promeneurs, sans doute nombreux en ce week-end de Pâques, qui verront encore de la fumée monter du massif. « On ne peut pas inonder 200 hectares. La fumée ou quelques flammes au milieu des parcelles brûlées, c'est normal. Ça peut venir d'une souche. Mais le feu ne pas repartir. Il n'y a plus rien autour. »les gendarmes poursuivent leur enquête.

4 avril 2014

les pompiers dégagent un enfant coincé dans un bloc de béton pendant plus de quatre heures



Le petit garçon 8 ans, décide de jouer à cache-cache. Et la meilleure des cachettes c’est, pense-t-il, à l’intérieur d’un cube de béton. « Ces blocs de plusieurs tonnes ont été posés là pour empêcher les vols de cuivre, explique un employé de la ville. D’ordinaire, on les met au sol pour empêcher les véhicules ou les caravanes de passer. Là, ils ont été posés contre les pylônes du stade, vandalisés deux fois en moins de six mois. » Mais étrangement, alors que les lieux sont fréquentés par une kyrielle d’enfants, les cubes qui servent à construire des canalisations n’ont pas été obstrués.Mohamed réussit donc à se faufiler à l’intérieur du tube central. Très étroit, son diamètre est de 45cm. « Lors de la descente, un genou s’est relevé, explique le commandant Anne Istria, du CODIS. L’enfant s’est retrouvé coincé. Impossible pour lui d’en ressortir. » C’est un cousin qui, alerté par les cris du garçon, préviendra ses parents.Rapidement sur les lieux, les sapeurs-pompiers de Roubaix vont être confrontés à un exercice délicat. Aidés par une équipe médicale du SMUR Roubaix sur tous les fronts, ils vont d’abord tenter d’extraire la victime en utilisant du savon et de l’huile qui sert d’ordinaire à soigner les grands brûlés. Malgré tous leurs efforts et face aux hurlements de l’enfant, ils se sont rapidement rendu compte que cette technique ne serait pas efficace. La cellule sauvetage et déblaiement « aux moyens d’intervention beaucoup plus lourds » est donc passée à l’action.À tour de rôle, une vingtaine de pompiers se sont succédé pour venir à bout du bloc de béton aux parois mesurant près de 35 centimètres. Il s’agit de ne pas blesser la victime équipée pour l’occasion de lunettes, d’un casque et d’un masque. Et c’est vers 21 heures, sous les vivats de ses proches, que le petit garçon a été extrait des gravats.


29 mars 2014

la caserne de Saint-Savin. a brûlée

Dans la nuit de mercredi à jeudi, vers 23 heures, un incendie s'est déclaré dans la caserne de Saint-Savin. Trois violentes détonations ont été entendues par les pompiers qui habitent les logements de fonctions juste à côté.

« Dès qu'ils sont sortis, ils ont vu le panache de fumée au-dessus de la caserne, raconte le colonel Chavatte. Ils ont réussi à rentrer à l'intérieur pour évacuer les véhicules qui n'étaient pas encore touchés par les flammes et ont lancé le message d'alerte. » « Ils ont hyper bien bossé, souligne le colonel. Ils sont parvenus à éteindre le feu avant l'arrivée des renforts. »

Personne n'a été blessé dans le sinistre. Mais les dégâts matériels sont importants avec cinq véhicules endommagés partiellement ou totalement : deux ambulances (VSAV), un fourgon pompe-tonne (FPT), un fourgon de secours routiers (FSR) et un véhicule léger tout-terrain (VLTT). La structure du bâtiment en béton n'a pas été touchée, mais plusieurs portes de garage ont été détruites.

Enquête
La brigade de gendarmes de Saint-Savin a ouvert une enquête. Le sinistre serait vraisemblablement de nature accidentelle. Les gendarmes n'écartent pas pour le moment la piste criminelle. Ils attendent les conclusions des deux experts 
qui ont été mandatés.

L'incendie pourrait être parti d'un véhicule. Les trois détonations seraient dues à l'explosion de trois bouteilles d'oxygène et d'air.
Dès le lendemain, des véhicules de remplacement ont été acheminés à la caserne pour assurer les secours. Un groupe électrogène a permis de conserver le standard téléphonique en état de marche.



27 mars 2014

un camion de pompiers en intervention percute une voiture


Une collision s'est produite mercredi soir entre un Camion de pompier et une voiture.Ca s'est passé à Venissieux, le véhicule de pompier se rendait sur une intervention quand il a percuté une voiture à une intersection. Aucun blessé n'est à déplorer. Mais une personne choquée par la collision a été transportée à l'hôpital.

"Une mini-révolution" chez les pompiers du Calvados

Le commandant Patrice Letullier,PUDSP (président de l’Union Départementale des Sapeurs Pompiers) du Calvados, fait le point sur les effectifs des SPV (Sapeurs Pompiers Volontaires) dans le département. Ils sont en pleine évolution.
Qu’est-ce qu’un sapeur-pompier volontaire ?“L’activité de sapeur-pompier professionnel est une profession à part entière. Dans le Calvados, il a le statut d’employé du Service département d’incendie et de secours, le SDIS. Le sapeur-pompier volontaire exerce, en règle générale, une autre activité professionnelle, assimilable à une profession. Et, à côté de cette profession, il exerce la fonction de pompier volontaire occasionnellement. Ce n’est pas un métier à proprement parler, plus un engagement citoyen. Si les pompiers volontaires se voient qualifiés de travailleurs, le volontariat risque bien logiquement de disparaître...Ces volontaires sont néanmoins payés...“Le rôle des pompiers volontaires c’est de se mettre au service du citoyen, mais pas dans des conditions désintéressées : ils reçoivent une rémunération sous forme d’indemnités.”A combien s’élèvent ces indemnités ?“Elles sont composées d’une base (entre 8 et 10 euros selon le grade), à laquelle on affecte un taux plus ou moins haut selon les carastéristiques jour nuit des interventions, des gardes...”Combien compte-t-on de pompiers volontaires ?“Ils sont environ 2 000 dans le Calvados. De la même façon qu’au niveau national, ils représentent environ 75% des effectifs totaux. Nous vivons dans le Calvados un problème de recrutement. Il nous est difficile de trouver des pompiers volontaires disponibles la journée en semaine. On fait en sorte de faciliter l’engagement de nouveaux profils de volontaires pour venir renforcer nos rangs. C’est une mini-révolution !”nouveaux contrats ?“Celui des agriculteurs, ou des mères au foyer, par exemple, qui disposent de plages horaires libre en journée. Seulement, certaines ne veulent pas participer à des interventions d’incendies, mais seulement à des secours à la personne. On va essayer de nous adapter en proposant dorénavant des contrats spécifiques adaptés.”Les conditions d’exerce des volontaires sont en train d’évoluer...“Leur statut évolue continuellement. Nous voulons aujourd’hui faire en sorte d’alléger au maximum les contraintes que représente le volontariat. Notre offre au catalogue de formations s’est largement étoffé, mais nous nous adaptons aussi davantage au profil de chacun en tenant compte de leurs acquis professionels. On privilégie ainsi le travail opérationnel et gagnons du temps”.

25 mars 2014

Les sapeurs pompiers de Guyane en grève illimitée


Ils veulent la démission du président du conseil
Selon les propos de Jean-Daniel Laya (sapeur pompier membre du collectif de Cayenne), aujourd’hui est la date butoir qui avait été décidée avec les syndicats pour entrer en grève. Il explique qu’au préalable un collectif avait été formé pour discuter avec les instances et trouver des solutions. N’ayant aucunes réponses concrètes aux problèmes d’effectifs, d’insalubrité des locaux, du matériel, du management et de leurs carrières, les pompiers sont passés à l’action. Yves D’Abreu (sapeur pompier, secrétaire général du SNSPP) déclare: « nous avons rencontré le président du conseil général ainsi que le préfet. Nous avons exposé concrètement les revendications de l’intersyndicale (SNSPP, UTG, le Collectif du centre de secours principal de Cayenne) et le point qui bloque est la démission du président du conseil d’administration des sapeurs pompiers de Guyane, pour cela nous sommes en grève illimitée.
Les sapeurs pompiers de Guyane sont en grève, mais réquisitionnés. Ils restent donc à disposition de la population pour mener tous types d’interventions.
 

 Une grève des sapeurs pompiers a démarré ce matin en Guyane. Ils se disent extrêmement déterminés et attendent des réponses positives à leurs revendications.Après de multiples débrayages au cours des derniers mois, les pompiers n’ayant reçu aucun écho à leurs doléances, entrent en grève pour une durée indéterminée.

d'administration 

23 mars 2014

Maison en feu, un pompier blessé


Un violent incendie a détruit l’ensemble du premier étage et de la toiture d’une maison d’habitation située rue du Giessen, à Saint-Pierre-Bois, sur une surface d’environ 150 m², vendredi soir à partir de 19 h 30. Le feu serait parti d’un atelier qui jouxte la maison, et s’est généralisé à toute la construction.Une trentaine de sapeurs-pompiers des centres de secours de Villé et Barr, des sections de Saint-Pierre-Bois, Neubois, Saint-Martin ainsi que la cellule de protection et de signalisation d’Illkirch étaient présents toute la nuit pour combattre les multiples reprises de feu.Selon les pompiers, l’incendie a été particulièrement difficile à maîtriser, d’une part en raison du vent, d’autre part en raison des matériaux utilisés pour l’isolation de cette maison récente, une sciure compacte, qui n’a pas résisté au feu, suite à l’incendie de la charpente et la montée en température de l’ensemble. Toute la nuit, les soldats du feu, ils ont dû gérer les reprises et dégarnir les plaques d’isolation, profondément vissées dans la charpente.Au cours, de l’opération, un sapeur-pompier de Villé, le chef d’agrès du fourgon pompe tonnes circulait sur une poutre saine qui a cédé sous son poids, et a fait une chute de quatre mètres. Légèrement blessé, il a été transporté au centre hospitalier de Sélestat à 2h30.Une famille avec un bébé habitait la maison.

22 mars 2014

Un pompier refuse de serrer la main à Manuel Valls


Jeudi, Manuel Valls s'est rendu à Grenoble et en a profité pour saluer les sapeurs-pompiers qui manifestent devant la préfecture. Ces derniers sont en conflit avec leur direction. Pour une raison inconnue, l'un d'entre eux a provoqué la colère noire du ministre de l'Intérieur en refusant de lui serrer la main. "Vous n'êtes pas un gamin", attaque Manuel Valls. "Vous exercez des responsabilités. Quand vous avez le ministre de l'Intérieur, un représentant du gouvernement, un représentant de l'Etat, un représentant de la République, vous vous comportez comme un sapeur-pompier.Il y a une hiérarchie chez les sapeurs-pompiers. Vous devez la respecter!" Petit moment savoureux, Manuel Valls commet un lapsus en s'énervant. "Si je viens ici, c'est pour dialoguer avec des sapeurs-pompiers. Après avoir dialogué, c'est impropre qu'on refuse de me tenir la main... serrer la main." Quelques minutes plus tard, un autre pompier l'interpelle plus sereinement: "Le respect doit être mutuel... 


19 mars 2014

Narbonne : Plaintes de pompiers pris dans une vendetta lors d'une intervention de secours


C'est une intervention dont trois pompiers de Narbonne se souviendront longtemps. Dimanche matin, un professionnel et deux volontaires sont dépêchés pour porter secours à une personne qui s'était blessée à un genou dans un bar de nuit, 'Oxygène', sur l'avenue des Pyrénées. Il est 7 h 10 du matin, cette intervention ne semble pas poser de difficultés particulières.L'ambulance avec trois pompiers avait été dépêchée pour un événement banal. Jusqu'au moment où deux hommes à visage découvert font irruption dans l'enceinte de l'établissement. "Ils étaient armés d'une barre de fer et d'un sabre", se souvient le pompier encore sous le choc. À l'intérieur du bar, il restait encore quelques clients et des membres du personnel. Les deux hommes s'en sont pris violemment au bar, donnant des coups et cassant des verres.

Traumatisme Dans cette affaire, il est évident que les pompiers n'étaient pas les cibles. En revanche, le traumatisme qu'ils ont subi était bien réel. Le pompier professionnel, avec 20 ans de service, n'en revient toujours pas : "C'est la première fois que je vois autant de violence. Un sabre est passé à trente centimètres de mon visage. J'ai eu le temps de prendre la victime et de partir dans le VSAB". Depuis les faits, il est en arrêt maladie et il a été pris en charge par le service d'aide psychologique du SDIS. Il a déposé plainte, tout comme au moins un autre pompier volontaire engagé dans cette intervention de secours.Le commissaire Jérémie Bosse-Platière a confirmé les démarches des pompiers. En revanche, ces derniers ne seront considérés qu'en qualité de "témoins et non de victimes". Leur récit sera très important pour identifier les personnes mises en cause dans cette expédition punitive. Hier soir, l'établissement de nuit n'avait pas déposé plainte. L'enquête est ouverte pour localiser les responsables, et les enregistrements des vidéosurveillances sont en cours d'exploitation. Pour le colonel Henri Benedittini, directeur et chef du corps départemental des pompiers, même si les secouristes n'étaient pas expressément visés, cette affaire n'en restera pas là : "Le SDIS soutient ces trois pompiers. Nous avons contacté notre avocat pour que le SDIS se constitue partie civile". 

18 mars 2014

Un sapeur-pompier mis à l'honneur par le préfet


L'histoireCe n'est que vendredi dernier qu'a eu lieu la cérémonie de remise des récompenses, à la préfecture, à La Roche-sur-Yon. Pourtant, les faits, eux, remontent en août 2013, le 14 août exactement.Ce jour-là, accompagné de sa famille, le caporal-chef Manuel Capo se rend sur le littoral. Au passage du viaduc, à la sortie de Mortagne, il aperçoit une jeune femme qui a enjambé le parapet... prête à sauter ! « Je me suis arrêté dès que possible, raconte-t-il. J'étais déjà en communication avec le Cog (Centre opérationnel de la gendarmerie) lorsque cette personne à sauté dans le vide ! »Une chute de 40 mètresLe viaduc culmine à cet endroit à une quarantaine de mètres au-dessus de la Sèvre, une hauteur qui laisse peu de doutes quant à l'issue du drame. « J'ai par la suite contacté les pompiers pour demander les secours adaptés à ce genre d'intervention. Un ancien collègue pompier s'est arrêté et nous sommes descendus le long du viaduc par un chemin très escarpé. Nous nous attendions à retrouver le corps dans un champ. »
Un vrai miracleArrivé en bas, Manuel entend des cris mais sans en localiser la source. Les deux hommes trouvent un passage dans le mur pour ensuite accéder à la chaussée en amont de la tannerie. « Et là, je l'ai aperçue, accrochée à un rocher. » Et vivante !Le pompier traverse une première fois la rivière puis une seconde en ramenant la blessée. « Je me suis alors échoué sur un banc de sable en maintenant le corps contre le mien pour faire un plan dur. »Ses neuf années de caserne lui ont appris les bons réflexes et les gestes qui sauvent : « Il fallait conserver l'axe tête-coup-tronc bien droit jusqu'à l'arrivée des collègues. » Et là, une longue attente commence. Même si les secours sont montés en puissance rapidement (Smur, pompiers, gendarmerie, sauveteurs aquatiques, etc.), il faudra 45 minutes pour évacuer la victime.Manuel avait déjà été récompensé à Mortagne lors de la cérémonie des voeux de cette année, mais cette fois c'est Jean-Benoît Albertini, le préfet, qui a décoré ce courageux pompier. Seul regret pour ce héros : « Je n'ai jamais vu le visage de cette personne, ni pendant l'intervention, ni après. » Une inconnue qui gardera son mystère.

Un pompier gravement blessé en secourant des automobilistes


Dans la nuit du 15 au 16 mars, une équipe de sapeurs pompiers portant secours à deux conducteurs accidentés sur l'A 41, à hauteur de Saint-Ismier, que l' un des sapeurs a lui-même été blessé par un troisième automobiliste. Il souffre d'un traumatisme crânien grave.C'est peu avant 4 heures du matin, ce dimanche 16 mars, que les pompiers de Domène sont intervenus après une collision entre deux automobilistes sur l'autoroute, dans les sens Grenoble-Chambéry. L'accident n'avait occasionné que de légères blessures. Mais l'ambulance des pompiers a elle-même été percutée par un troisième automobiliste. le sapeur touché affiche plus 30 ans de service. 
Transporté au CHU de Grenoble-La Tronche, le pompier blessé souffre d'un grave traumatisme crânien, avec enfoncement du temporal. Il a été pris en charge par le service de neuro-chirurgie. 
Le conducteur en cause, blessé léger dans ce suraccident, a été entendu par les gendarmes. 

14 mars 2014

Ambleteuse : à deux reprises, il coupe l’eau des pompiers lors d’un incendie

Il rentre chez lui , en cours il tombe sur l'incendie d'une résidence secondaire. Ils appellent  les pompiers . Et c’est ensuite que tout dérape... « J’étais vraiment pas bien, je ne sais pas ce qui m’a pris, je le regrette, j’étais fortement alcoolisé et j’avais plus toute ma tête, j’ai seulement des flashs de ce qui est arrivé » alors que les soldats du feu  bataillent pour éteindre l’incendie, l’Ambleteusois leur coupe l’eau à deux reprises. «La première fois, j’ai pas coupé la borne à incendie entièrement, j’ai fait cinq tours de manivelle. J’avais peur d’être pris, les pompiers n’étaient qu’à cinq mètres », croit bon de préciser le mis en cause. Les témoignages que les gendarmes ont recueilli sur son compte n’arrangent pas son cas : durant la nuit, alors qu’il a rejoint d’autres amis, le prévenu s’est vanté d’avoir coupé les vannes aux pompiers histoire de « s’amuser un peu »...L’incendie aurait pu se propager aux autres maisons de ce quartier résidentiel, sans compter que les pompiers étaient exposés au feu et que l’absence d’eau «peut créer une surchauffe de la pompe et endommager le matériel très cher » utilisé par les secours. Elle requiert cinq mois de prison avec sursis et 210 heures de travaux d’intérêt général. Il devra verser 500 euros aux pompiers à titre de préjudice moral.


9 mars 2014

Animaux. Le blaireau sauvé par les pompiers près de Rennes



Le blaireau était tombé dans un regard d’eau pluviale profond d'1,50 m. Une promeneuse a repéré vendredi matin un blaireau, au fond d'une fosse de béton, profonde d'1,50 m et de 50 cm de côté. Elle a donc alerté les pompiers, qui ont sollicité les collègues spécialisés de la cellule animalière. Munis d’une perche avec lasso, deux spécialistes sont parvenus rapidement à extirper l’animal de son cachot. Aussitôt libéré, celui-ci s’est enfui à toutes pattes sans un regard pour ses sauveurs. "Nous avons déjà secouru une vache dans un marécage, un cheval dans une piscine, un chien dans un ravin, c'est la première fois que nous intervenons pour un blaireau. Les gens ne le savent peut-être pas, mais sauver les animaux sauvages, cela fait aussi partie de nos missions."

Le portrait du dimanche : René Duriez pompier, médecin et homme de devoir

Médecin-pompier, René Duriez est l’un des cinq responsables du DASUD 62, le détachement d’aide et de secours d’urgence. Plus concrètement, ces sapeurs-pompiers interviennent sur les catastrophes humanitaires aux quatre coins de la planète.« Ça passe vite. » Une heure à se raconter, et il reste tant à dire. À 64 ans, René Duriez, médecin-colonel des soldats du feu, est passionné. Lui, dont la vocation remonte au service militaire, en 1976 chez les pompiers de Paris. Il exerce ensuite à Calot, à une époque où le SMUR (service mobile d’urgence et de réanimation) n’existait pas. « Avec des copains médecins et infirmières, nous avons mis en place des secours d’urgence et ça a fonctionné comme ça pendant une quinzaine d’années. »

Un intérêt pour les premiers secours qui est le fil rouge de son parcours. « J’ai quitté Calot en 87 et je me suis installé comme rhumatologue, mais je suis resté sapeur-pompier. » En 1999, il passe professionnel et devient médecin à temps plein du Service départemental d’incendie et de secours 62, responsable du groupement ouest (de Calais à Étaples), une fonction qui lui demande de développer des qualités d’organisation bien utiles aujourd’hui…

8 mars 2014

Un mort et deux blessés dans un accident à Olonne-sur-mer (Vendée 85)



Violent choc sur une route traversant la forêt à Olonne-sur-mer. Un homme de 37 ans est décédé. Une retraitée sarthoise a été évacuée par hélicoptère.Grave accident de la route dans un secteur réputé dangereux près des Sables-d’Olonne, vendredi 7 Mars en après-midi. Un Olonnais de 37 ans est décédé et deux retraités sarthois, de passage pour la journée, ont été grièvement blessés.Que s’est-il passé ? Selon les premiers éléments, un Picasso qui venait de Brem-sur-Mer et circulait, dans la forêt, sur la route des Amis de la nature à Olonne-sur-Mer, aurait mordu sur le bas-côté, dans la ligne droite précédant les virages serrés de la Tantouille. Après un tête-à-queue, il s’est retrouvé en travers de la route. En face, arrivait une Golf, dans laquelle se trouvaient un homme et une femme, chacun âgés d’environ 70 ans. Leur voiture a percuté très violemment, de front, l’arrière du Picasso.

7 mars 2014

film pompier lego

voici un petite stop motion que quelqu'un ma envoilé quand pensé vous?                                                                                      moi je dit ses un bon début non?




4 mars 2014

Film officiel du SDIS 36





des chosent on changer de puis mais la base reste la même

Salviac. Tous les petits veulent être sapeurs pompiers


Le 26 février, 34  enfants du centre de loisirs ont envahi le c.s (centre de secours) pour une visite qui les a passionnés. Accueillis par deux sapeurs, ils ont fait connaissance du «bip» qui les amène à la caserne, du fax qui détermine la nature de l’intervention et le choix de l’équipement. Les petits ont montré un réel intérêt pour le métier de pompier, mais une de leurs préoccupations était la peur que peut éprouver un soldat du feu. L’arrivée d'un sapeur volontaire âgée de 20 ans, dans son uniforme, a provoqué une foule de questions : en formation depuis 6 mois, peut-il participer aux interventions et lesquelles ? À la fin de la visite, ils étaient tous volontaires.

Sdis 82 : solidarité avec les pompiers argentins


10 sapeurs-pompiers argentins sont morts lors d’une intervention le mois dernier mais nombreux ont été sauvés par les casques offerts l’an dernier par le Sdis 82. De nouveaux matériels vont bientôt être acheminés vers la caserne de la Vuelta de Rocha à Buenos Aires et un partenariat est à l’étude.Le 5 février dernier, une douzaine de sapeurs-pompiers argentins ont eu la vie sauve grâce à des casques offerts par le Service départemental d’incendie et de secours (Sdis) de Tarn-et-Garonne. Lors d’une terrible intervention sur un entrepôt en feu dans un quartier au sud de Buenos Aires, un pan de mur s’est écroulé sur les sapeurs-pompiers qui intervenaient . Le bilan est dramatique : 10 hommes sont morts dont la plupart mal équipés pour se protéger. «Lors d’un de mes voyages en Argentine, j’ai rencontré les pompiers de la caserne de la Vuelta de Rocha et j’avais été choqué par la légèreté de l’équipement dont ils disposent pour intervenir, se souvient Jean-Michel Baylet, président du conseil d’administration du Sdis 82. Sans parler de leurs vieux camions américains des années 60, ils n’ont pas de bottes, pas de vestes qui résistent au feu et encore moins des casques pour intervenir. De retour en Tarn-et-Garonne, je leur ai immédiatement envoyé du matériel réformé du Sdis 82. Nous n’avons malheureusement pas pu équiper toute la caserne et le drame qu’ils viennent de connaître me révolte.»Un jumelage envisagé entre le Sdis 82 et la caserne de la Vuelta de Rocha


3 mars 2014

Pau : incendie au coeur du quartier Saragosse


C'est en rentrant chez elle qu'une habitante du quartier Saragosse, à Pau, a découvert que de la fumée se dégageait de son logement, samedi après-midi. Elle a aussitôt donné l'alerte. Il était alors 15 h 07. Les sapeurs-pompiers situé à proximité, se sont très rapidement déployés sur place.Le feu avait pris au niveau d'un canapé de la salle à manger de cet appartement situé au deuxième étage du bâtiment Isabe. Les habitants de cet immeuble de quatorze étages étaient déjà sortis à l'arrivée des secours.D'importants moyens ont été mobilisés afin notamment d'éviter que l'incendie ne se propage : près de vingt-cinq sapeurs-pompiers, sont intervenus avec deux fourgons incendie, une grande échelle, et une ambulance. Le SAMU, la police et les urgences Gaz étaient également sur les lieux. Le feu a été rapidement maîtrisé.la locataire du logement concerné et une voisine - ont été incommodées : prises en charge par les sapeurs-pompiers, elles ont été transportés au centre hospitalier de Pau. Leur état n'inspirait aucune inquiétude.

petite blage du jour bonjour


Incendie. Un bus de ville en feu près de Caen


A Bretteville-sur-Odon (Calvados) , mardi 25 février 2014 Un bus a pris feu, peu après 14 h 30 , au sud-ouest de Caen . Les sapeurs pompiers sont intervenus pour maîtriser les flammes . Selon les secours, il n'y a pas eu des blessés.

19 février 2014

Bordeaux : impressionnant incendie d'un entrepôt de 2 500 m² à Paludate



Pour une raison que l'enquête de police permettra de déterminer avec précision, un incendie s'est déclaré dans la nuit de mardi à mercredi, à 23h30, rue Seiglière, dans le quartier de Paludate, à Bordeaux.D'épaisses fumées noires étaient visibles de très loin au moment du sinistre et une forte odeur de brûlé a envahi l'air ambiant, bien au-delà des rues alentours. Mercredi matin, on pouvait encore sentir une odeur âcre qui se répandait jusqu'aux quais de la rive droiteLe feu a ravagé les entrepôts des charcuteries industrielles Mainjole. Une quarantaine de pompiers ont été dépêchés sur place pour maîtriser le feu et éviter sa propagation.


16 février 2014

Il sauve ses voisins de l'incendie volontaire


Airvault. Une Airvaudaise a incendié son appartement, samedi vers 3 heures. Un résidant a donné l’alerte, sauvant ses voisins de l’incendie.Baudouin Dezettre, c'est lui qui, vers 3 h 30, dans la nuit de vendredi à samedi, a« alerté tous ses voisins » d'immeuble dès qu'il a « senti une odeur de fumée ».Quelques minutes plus tard, les occupants de ce HLM,  étaient dehors. Ils ont assisté, impuissants, à l'incendie qui finalement a détruit trois appartements et en a endommagé un quatrième. Par chance aucun habitant n'a été blessé. Le sinistre est d'origine humaine : une des résidantes, fragilisée et connue des services administratifs de la mairie, avait mis le feu à son appartement. Elle a été transportée à l'hôpital." J'ai sauvé ma femme et mes deux filles "Adjoint au maire d'Airvault, Michel Reignier n'a pas beaucoup dormi. Prévenu par la gendarmerie, il était présent à l'arrivée des pompiers*: « Les hommes du feu ont mis trois heures et demie pour venir à bout de l'incendie ».Les traits tirés, les yeux encore embués de larmes, Baudouin Dezettre craque : « Tout est détruit dans mon appartement. C'est une piscine ! ». Cet ancien béret vert est accablé : « J'ai perdu mon ordinateur avec tous mes dossiers militaires dedans ». Puis il se reprend : « Le plus important, c'est que j'ai sauvé ma femme et mes deux filles ».Béatrice Buton, occupante de l'appartement n° 1, s'approche alors de Baudouin, le héros du jour, pour le prendre dans ses bras. « On se connaît tous dans l'immeuble, dit-elle. On prend parfois l'apéritif ensemble ». Mère de deux enfants, Béatrice va être relogée par la municipalité. Tout juste a-t-elle pensé à « récupérer les sacs de ses deux garçons pour l'école, lundi ». La famille de Baudouin Dezettre, elle, dormira samedi soir à l'hôtel en attendant de trouver une solution.Sauver un livre ou une couvertureAlors que les résidants de l'immeuble quittent peu à peu les lieux, emportant sous le bras leurs effets personnels les plus chers – pour certains un livre, pour d'autres une couverture –, des couvreurs sont déjà à l'œuvre sur le toit de l'immeuble. « Ils sécurisent la toiture des logements n° 3 et n° 7 », explique Chantal Nargeot, directrice adjointe d'Habitat Nord Deux-Sèvres, bailleur de l'immeuble. Ces travailleurs essayent d'atténuer, un peu, à coups de marteau, les stigmates d'une nuit qui laissera inévitablement des traces dans la mémoire des habitants de cet immeuble de la rue des Chenevières.


15 février 2014

petite blague des vieux avec un nouveau impatiens


petite blague



Un cycliste de 18 ans tué par une voiture


un dramatique accident de la circulation s’est produit ce vendredi, vers 20 heures, sur l’avenue de Turin à Chambéry, à hauteur de la gendarmerie mobile, impliquant une voiture et un cycliste. Le cycliste, âgé de 18 ans, et originaire de Chambéry, est décédé. Il circulait sur son vélo de course gris sur une ligne droite, dans le sens Chambéry-Bassens, lorsqu’il a vraisemblablement été percuté par l’arrière, dans des circonstances encore indéterminées. La victime n’a pu être réanimée par le Samu 73 et les pompiers de Chambéry.
Le véhicule a pris la fuite et les policiers lancent un appel à témoins pour tenter de le retrouver, ainsi que son conducteur. Toute personne ayant des informations sur les circonstances de l’accident peut contacter l’hôtel de police de Chambéry au 04 79 62 84 00

Appel à témoins suite à un délit de fuite

14 février 2014

bonne garde et saint valentin


Pompiers en Charente : un appel aux volontaires est lancé

Le Service départemental de secours et d’incendie de la Charente a du mal à recruter des volontaires. Il se donne trois ans pour redresser la barre
Pompiers en Charente : un appel aux volontaires est lancé
Une sirène hurlante toutes les 7,4 secondes. En France, les sapeurs-pompiers sont sortis 4,2 millions de fois dans l'année 2012. Or, si les interventions sont toujours plus nombreuses, le nombre de sapeurs-pompiers volontaires décline. Lentement, mais sûrement. En 2012, notre pays comptait 192 986 pompiers volontaires, soit 2 232 de moins que l'année précédente, selon un rapport diffusé fin novembre 2013 par le ministère de l'Intérieur. Le recrutement est difficile. En dix petites années, la France a perdu 15 000 volontaires.Maillons essentiels de la sécurité civile, ces hommes et femmes occupent la plupart du temps un autre métier. Ils représentent 78 % du corps des pompiers et le renouvellement de cette force citoyenne est capital. La question a été érigée en priorité nationale. En octobre dernier, lors du congrès national des pompiers à Chambéry, le président François Hollande fixait un objectif ambitieux : « Retrouver 200 000 volontaires d'ici la fin du quinquennat ».
Lors du congrès d'Angoulême, en 2010, c'était Brice Hortefeux (alors ministre de l'Intérieur), qui promettait de protéger leur statut. « Le volontaire n'est ni un agent public, ni un travailleur, c'est une personne qui s'engage librement aux côtés de la communauté nationale », assurait-il.
Un effectif de 27 % inférieurLe dossier concerne tous les Services départementaux d'incendie et de secours (Sdis).
Sans être catastrophique, le cas de la Charente est préoccupant. On compte ici 249 professionnels et 872 volontaires : un effectif de 27 % inférieur à la moyenne des départements ruraux de même catégorie.« En 2012, nous avons recruté 37 volontaires et compté 104 départs. En 2013, ce fut un petit peu mieux, avec 69 recrutements pour 88 départs, mais le solde reste négatif », note le colonel Noël Stock qui constate que 64 % des sapeurs-pompiers volontaires en Charente résilient leur engagement avant dix ans de service.
Les raisons sont diverses : à l'heure où les sollicitations sont multiples, les notions d'engagement et d'abnégation ont perdu de leur aura. Et puis on ne fait pas fortune en devenant pompier volontaire ! Les indemnités sont minimes : entre 7 et 11 euros l'heure d'intervention. Patrick Berthault, conseiller général de Saint-Amant-de-Boixe et président du Sdis 16, note que l'image du pompier volontaire s'est sans doute un peu ternie : « Souvent, on était volontaire de père en fils. Aujourd'hui, les contextes familiaux ont changé et le père absent, appelé à n'importe quelle heure du jour et de la nuit, n'est plus forcément un modèle.»
Feuilles de routeDès lors, comment recruter ? Il y a quelques jours, le colonel Stock a convoqué les chefs et adjoints des 27 centres de secours de Charente à une réunion à Angoulême, en présence du directeur de cabinet du préfet. À l'ordre du jour, la présentation d'un plan d'actions de promotion du volontariat d'une durée de trois ans. Cette feuille de route a le mérite d'être très concrète. D'un secteur à l'autre, les recommandations diffèrent et priorité a été donnée aux secteurs ruraux où le renouvellement des effectifs est le plus difficile : Champagne-Mouton, Roumazières, Aigre, Segonzac, Châteauneuf, et surtout tout le Sud-Charente, Baignes, Blanzac, Chalais, Montmoreau et Saint-Séverin.
« Là, il n'y a pas ou peu de grosses entreprises susceptibles d'être démarchées et sensibilisées. Le tissu économique est constitué de PME et d'artisans. Pour ces petits patrons, laisser partir un salarié sur une intervention n'est pas facile. Je le comprends. Nous allons donc nous rapprocher des collectivités locales, notamment des Communautés de communes où les agents sont sans doute plus disponibles », explique le colonel Stock.
Le plan d'actions présenté fin janvier est constitué de 32 fiches très pratiques. Exemples : mise à jour du site Internet du Sdis (pour l'heure non référencé par Google) ; tenue d'un stand dans les grandes manifestations publiques ; réalisation et diffusion d'un film ; distribution d'une plaquette à tous les employeurs, publics comme privés, etc. Rien de révolutionnaire, certes, mais des initiatives simples et efficaces.
« Nous ne sommes pas des faiseurs de miracles, concède le colonel Stock.Notre objectif est de maintenir des effectifs constants. La promotion du volontariat, c'est aussi rappeler certaines évidences. Dire en toute franchise que l'on ne gagnera pas des mille et des cent en choisissant cette voie. Mais dire que revenir à la caserne avec la satisfaction d'avoir sauvé une vie, cela n'a pas de prix ! »

7 février 2014

le marin-pompier veut promouvoir le sauvetage

Barret : le marin-pompier veut promouvoir le sauvetage

Demain après-midi, de 14 à 19 heures, le public est invité à découvrir ce pôle au complexe de Nautilis, à Saint-Yrieix. Ce sera l'occasion pour le jeune sportif de mettre en œuvre non seulement ses talents de sauveteur, mais aussi d'organisateur et de fédérateur.De la mer aux bassinsBenjamin a d'abord eu la volonté de s'engager dans l'armée : « Surtout par curiosité, concède-t-il. Je voulais d'abord suivre une carrière ayant trait au sport. Et à la natation en particulier. J'ai commencé à Marseille, puis à Cherbourg. J'étais marin-pompier. Une très belle expérience. Ensuite, j'ai eu envie de bifurquer ». Sélectionné en 2012, Benjamin est inscrit au Creps Poitou-Charentes (Centre de ressources, d'expertise et de performances sportives), réservé aux sportifs de haut niveau. Titulaire du brevet professionnel en milieu aquatique, il prépare le BPJEPS (brevet professionnel de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport), avec pour option, la natation.Benjamin ne perd jamais de vue son sens du secours. C'est visiblement ce qui l'a conduit à encourager l'Association des sauveteurs secouristes de l'Angoumois (ASSA) et l'association des Sauveteurs de la Charente, une des plus anciennes institutions du département.Le jeune homme n'a eu aucun mal pour encourager les deux structures à organiser, conjointement, cette journée de découverte du Pôle sauvetage et à trouver des sponsors. « L'idée, c'est de faire découvrir à un large public, notamment les jeunes qui savent bien nager, diverses méthodes de sauvetage ». Une discipline qu'enseigne un maître-nageur à Nautilis. « Nous utiliserons des paddle (planches avec pagaies), des bouées, des mannequins, etc. Nous initierons les visiteurs à l'utilisation de ce matériel de sauvetage. Nous ferons des démonstrations. En ateliers, nous montrerons l'utilisation d'un défibrillateur, par exemple. En fin de journée, nous échangerons avec les animateurs présents ».Ces rencontres se compléteront d'un questionnaire pour recenser les besoins et les attentes du public.

29 janvier 2014

Après dix-huit heures de galère, la rocade minière rouverte dans les deux sens







 











La rocade minière (Départementale 301) était fermée à la circulation depuis 22h mardi suite à un accident, à hauteur de Maisnil-lès-Ruitz. Un camion-citerne rempli de 26 tonnes de white-spirit s’est retourné dans la bretelle de sortie. Depuis 14 h 45, une partie de la rocade est rouverte à la circulation dans le sens Bruay – Lens. Elle a été rétablie à 16 heures dans le sens Lens – Bruay.

La circulation n’est plus interrompue sur la rocade minière (D301), entre Barlin et Houdain, suite à l’accident survenu dans la bretelle de sortie de Maisnil-lès-Ruitz. Mardi, vers 22 heures, un camion-citerne qui venait de la rocade s’est couché sur le flanc, après avoir monté le talus sur la gauche de la route. Il s’engageait dans la bretelle pour rejoindre la D341 menant à la zone industrielle de Ruitz. Rapidement sur les lieux, les pompiers houdinois ont secouru le chauffeur du camion. Légèrement blessé, il a été emmené au centre hospitalier de Beuvry. Il a, depuis, été pris en charge par les policiers nœuxois puisque son dépistage d’alcoolémie s’est révélé positif. Il est actuellement en garde à vue.Ce mercredi matin, un autre camion de la société est arrivé sur place pour pomper le liquide encore présent dans le camion accidenté, une manœuvre indispensable à réaliser avant toute tentative de relever le camion accidenté. Le périmètre de sécurité avait déjà alors été largement agrandi pour être porté à 500 mètres autour du camion, d’autant que les pompiers de l’unité de risques technologiques ont détecté une légère fuite. Une nécessité pour limiter les risques au moment de vider la citerne. L’opération de dépotage a duré toute la matinée et devait se terminer ce midi. Le transfert des trois-quarts du liquide s’est effectué sans difficulté, restait ensuite à vider le fond de la cuve. Pas l’opération la plus simple en raison d’une présence importante de gaz dans la cuve, ce qui accentué le risque d’explosion. Il a fallu que le garage Hautefeuille lève la citerne avant de poursuivre la manœuvre.Circulation totalement rétablie à 16 heuresUne fois le dépotage terminé, les policiers nœuxois ont d’ores et déjà programmé les constatations sur le camion et sur les lieux de l’accident durant une heure. Le camion a été relevé vers 14 h 30. Rouverte dans le sens Lens – Bruay dans un premier temps, la circulation est donc rouverte dans les deux sens. Plus vite que prévue grâce à la mobilisation des secours et des agents du conseil général qui ont nettoyé la chaussée. Juste à temps pour éviter les bouchons de fin de journée et une nouvelle galère pour les automobilistes après celle du matin.Vingt-six tonnes de white-spiritCe qui avait rapidement inquiété les secours, c’est la cargaison de la citerne : des matières dangereuses. Très vite le dispositif de secours s’est étoffé et d’importants moyens, tant humains que matériels, ont été mobilisés réunissant pompiers, policiers, agents du conseil général et dépanneurs. Les mesures de sécurité ont été renforcées quand les secours ont eu la confirmation de la nature de la cargaison : « 26 tonnes d’un liquide très inflammable, du white-spirit, expliquait le commandant Samuel Trupin à la tête des opérations de secours. Il y a un gros risque d’inflammation voire d’explosion ».

463663729_B971896049Z.1_20140129163506_000_GG01RV75M.1-0.jpg

BETHONCOURT (25) :il moleste deux pompiers et menace des gendarme avec une hache

Pompiers et gendarmes ont reçu un accueil bouillant, hier, impasse du Campe. Photo Francis REINOSO

Montbéliard. « Un homme menace de se suicider avec un couteau ». Tel est le motif de l’appel au secours émis par une dame et reçu par le Centre opérationnel d’incendie et de secours du Doubs, hier à 14 h, à Besançon.L’information est aussitôt répercutée à la caserne concernée. Les pompiers filent impasse du Campe, sur les hauteurs de Bethoncourt, où le désespéré est signalé. L’intervention sera aussi rapide que brutale. Les secouristes sont confrontés à un homme dans un état d’excitation extrême.Deux sapeurs-pompiers, un professionnel de 40 ans et un volontaire de 20 ans, sont alors physiquement agressés par un occupant de la maison.
En fin de compte, il a pu être maîtrisé pour être placé en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie avant d’être dirigée vers un établissement spécialisé.
Car manifestement, le trentenaire, récemment sorti de prison, souffre de troubles psychologiques. Comme en attestent ses antécédents.
Car il est loin d’être un inconnu des forces de gendarmerie. Il s’était notamment illustré en juin 2012, à l’occasion d’un rocambolesque rodéo avec ces mêmes militaires.
Une folle course poursuite entamée dans les rues de Bethoncourt qui s’était prolongée sur une cinquantaine de kilomètres, via l’A36, à plus de 150 km/h, s’achevant contre une glissière de sécurité à Burnhaupt, en Alsace, après avoir, au préalable, défoncé la barrière de péage de Fontaine.
Un gymkhana ponctué de coups de volant dès que la voiture de gendarmerie montait à sa hauteur et qui s’était soldée par de gros dégâts matériels.
En septembre 2012, le tribunal de Montbéliard avait condamné le chauffard à huit mois de prison dont quatre ferme. À la barre, le Bethoncourtois avait mis en avant « une maladie neurologique ». À l’évidence, le mal n’a pas été traité comme il aurait dû.

Récemment sorti de prison

28 janvier 2014

Sapeurs-pompiers de Rennes. exercice au pôle Saint-Hélier

Les pompiers s'entrainent autour des bâtiments, situés en plein centre-ville.

Les pompiers effectuent ce matin des manœuvres au Pôle médical Saint-Hélier, en centre-ville de Rennes.Les passants ont cru à début d’incendie, ce matin. Plusieurs véhicules de sapeurs-pompiers étaient déployés à l’angle de l’avenue Louis Barthou et de la rue Saint-Hélier, non loin du Théâtre national de Bretagne.En fait, il s’agit d’un exercice. Les pompiers s’entraînent autour du Pôle Saint-Hélier, un pôle de médecine physique et de réadaptation mais aussi un site sensible, du fait de sa situation. Ses bâtiments abritent plusieurs centaines de patients en plein centre-ville de Rennes.

25 janvier 2014

collision mortelle en sarthe

la collision s'est produite mercredi 22 janvier vers 15h30, sur la D306 à crosmières, prés de la Flèche, dans la Sarthe. Un poids lourd et une camionnette se sont percutés de plein fouet. le conducteur de la camionnette âgée de 57 ans et décédé sur les lieux de l'accident. le poids lourd, voulant éviter l'automobiliste se déportant sur sa voie , a terminé sa course dans le faussée le chauffeur n'est blésé.

Les équipages de la Sécurité civile craignent un démantèlement des bases montagne

Hélicoptère de la Sécurité civile en intervention en station, en février 2013. Un syndicat de personnels navigants craint  la fermeture prochaine de certaines bases et le transfert progressif «de ce vecteur de secours gratuit au profit d’opérateurs privés très coûteux et aux motivations financières cachées». Photo d’archives Dauphiné Libéré/D.M.

La petite base avancée de la Sécurité civile d’Huez ne sera peut-être plus qu’un souvenir dans quelques années, voire quelques moisDurant les saisons d’été et d’hiver, l’un des hélicoptères de la Sécurité civile rattachés à la base du Versoud stationne en effet sur l’altiport d’Huez et permet, en coordination avec le poste du secours en montagne, de projeter rapidement des équipes du PGHM, de la CRS Alpes et du Samu en intervention.Selon Dominique Richard, membre du bureau national du Syndicat national du personnel navigant de l’aéronautique civile-Groupement hélicoptère (SNPNAC-GH), il existe actuellement au plus haut niveau « une réflexion visant à désengager la Sécurité civile du secteur montagne, dans l’optique d’une “rationalisation des moyens”.
Dans un communiqué national, le SNPNAC explique avoir demandé audience à Manuel Valls pour « évoquer le démantèlement prévu de la flotte des hélicoptères de secours (...) en la réduisant bien en dessous des capacités opérationnelles que l’on doit à la population française”. Si l’organisation est aussi alarmiste, c’est qu’elle craint la fermeture de certaines bases

14 janvier 2014

Verglas. Un pompier de Plumaugat blessé en allant sur un accident

Le flanc gauche de la voiture du pompier, de marque BMW, témoigne de l'impact contre le mur.

Sa voiture aurait glissé et a heurté un mur, à l'entrée du bourg.Un pompier volontaire de 31 ans a été gravement blessé dans un accident ce matin, à l'entrée du bourg de Plumaugat (Côtes-d’Armor), sur la route de Caulnes. L’accident s’est produit alors qu'il répondait à l’appel de son bip.Sa voiture aurait glissé sur du verglas et a percuté un mur. Souffrant d’un traumatisme facial et crânien, il était inconscient et a été transporté à l’hôpital de Saint-Brieuc par ses collègues pompiers de Plumaugat.Cinq personnes ont été légèrement blessées dans l’accident de Caulnes. Elles ont été conduites à l’hôpital de Dinan.

13 janvier 2014

Un incendie fait deux morts, des pompiers qui passaient évitent un bilan plus lourd encore

Le bilan de cet incendie aurait pu être beaucoup plus lourd sans une coïncidence qui a fait se croiser ce soir-là un véhicule des pompiers et... un incendie. En rentrant d'une autre intervention vers minuit, une ambulance de ces soldats du feu a aperçu sur son chemin de la fumée sortant de deux appartements à Valenciennes, dans le Nord. Les ambulanciers, qui avaient leur tenue de feu, ont pu prendre en charge des personnes avant l'arrivée de renforts. Mais ils n'ont pu empêcher deux décès : un homme et une femme, âgés d'une trentaine d'années.
Sans cette intervention, "il y aurait certainement eu beaucoup plus de victimes huit personnes ont été évacuées" au total. "Ces huit personnes sont indemnes et ont été prises en charge pour leur relogement par la mairie.En ce qui concerne les personnes décédées, on n'a aucune information sur leur identité, on ne peut même pas dire si elles sont de la même famille. Sur l'origine (de l'incendie) on ne peut strictement rien dire" même si la piste accidentelle est privilégiée, a ajouté la préfecture.
Deux appartements ont été détruits par l'incendie mais tout l'immeuble, composé de douze appartements, est inhabitable, ont précisé les pompiers.

10 janvier 2014

Clermont-Ferrand : un mort dans un incendie d'immeuble



«Une dame voulait se jeter par la fenêtre. Des gens criaient. Des flammes sortaient par les fenêtres des appartements », raconte ce jeudi matin le gérant d'un établissement situé au rez-de-chaussé d'un immeuble de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) ayant pris feu dans la nuit de mercredi a jeudi . Tous les locataires semblaient avoir pu évacuer les lieux mais, au petit matin



les sapeurs-pompiers ont découvert le corps d'un jeune homme d'une vingtaine d'année,  dans le terrible .

Le bâtiment est entièrement détruit.
Le feu s'est déclaré vers 1h30 au premier étage de cet immeuble de la rue des Jacobins, rapporte le journal La Montagne. Les flammes se sont ensuite propagées dans la cage d'escalier. 
«Le feu couve encore dans les planchers», précisait à l'aube le lieutenant Grellet, chef de groupe sur cette opération. A ce moment là, la vingtaine de pompiers sur place n'avait pas encore fait la macabre découverte. C'est dans les décombres que les secours ont trouvé le corps de la jeune victime.

Circulation : quand les pompiers voient rouge

Les pompiers sont naturellement prioritaires dans le trafic mais du côté de la caserne Jacques-Vion, allées Charles-de-Fitte, plusieurs éléments de grogne remontent à la surface.«Il y a beaucoup de circulation sur les allées Charles-de-Fitte, le trafic est moins fluide qu’avant, constate le colonel Patrick Toufflet, directeur du Service départemental d’incendie et de secours (Sdis) et de plus en plus d’automobilistes utilisent la contre-allée pour éviter les bouchons de l’artère.» Problème

Les pompiers de la caserne Vion sont exaspérés des embouteillages qui les empêchent de circuler normalement. / Archives DDM si l’avenue est équipée de feux tricolores qui passent au rouge dès qu’une sortie des pompiers est effectuée, il n’y a pas de tels feux sur la contre-allée. Les sapeurs pompiers qui sortent de leur caserne se retrouvent donc de plus en plus confrontés à l’irruption d’un véhicule sur leur gauche, d’où le risque pointé, la priorité restant la sécurité, malgré l’urgence du départ. «Nous sommes en train d’évaluer le problème avec la mairie de Toulouse, . Le chef de centre de la caserne Vion travaille notamment avec la police municipale». Des solutions devraient être trouvées rapidement, peut-être des feux sur la contre-allée, pour résoudre ce problème : «L’objectif reste d’éviter les accidents» souligne le colonel Toufflet. Théoriquement, les services de secours ont la possibilité de circuler sur la voie du tram, explique la Smat (Société de la mobilité de l’agglomération toulousaine) en l’empruntant notamment à son début. Mais en pratique, c’est une autre chanson, relèvent les pompiers, notamment quand ils se retrouvent coincés au milieu du pont. Du coup, pas très chauds pour circuler sur l’emprise du tram pour des raisons de sécurité, les pompiers préfèrent aujourd’hui choisir d’autres plans de route pour contourner le pont, ce qui allonge le temps d’arrivée sur les sites d’intervention, regrettent-ils.