29 janvier 2014

Après dix-huit heures de galère, la rocade minière rouverte dans les deux sens







 











La rocade minière (Départementale 301) était fermée à la circulation depuis 22h mardi suite à un accident, à hauteur de Maisnil-lès-Ruitz. Un camion-citerne rempli de 26 tonnes de white-spirit s’est retourné dans la bretelle de sortie. Depuis 14 h 45, une partie de la rocade est rouverte à la circulation dans le sens Bruay – Lens. Elle a été rétablie à 16 heures dans le sens Lens – Bruay.

La circulation n’est plus interrompue sur la rocade minière (D301), entre Barlin et Houdain, suite à l’accident survenu dans la bretelle de sortie de Maisnil-lès-Ruitz. Mardi, vers 22 heures, un camion-citerne qui venait de la rocade s’est couché sur le flanc, après avoir monté le talus sur la gauche de la route. Il s’engageait dans la bretelle pour rejoindre la D341 menant à la zone industrielle de Ruitz. Rapidement sur les lieux, les pompiers houdinois ont secouru le chauffeur du camion. Légèrement blessé, il a été emmené au centre hospitalier de Beuvry. Il a, depuis, été pris en charge par les policiers nœuxois puisque son dépistage d’alcoolémie s’est révélé positif. Il est actuellement en garde à vue.Ce mercredi matin, un autre camion de la société est arrivé sur place pour pomper le liquide encore présent dans le camion accidenté, une manœuvre indispensable à réaliser avant toute tentative de relever le camion accidenté. Le périmètre de sécurité avait déjà alors été largement agrandi pour être porté à 500 mètres autour du camion, d’autant que les pompiers de l’unité de risques technologiques ont détecté une légère fuite. Une nécessité pour limiter les risques au moment de vider la citerne. L’opération de dépotage a duré toute la matinée et devait se terminer ce midi. Le transfert des trois-quarts du liquide s’est effectué sans difficulté, restait ensuite à vider le fond de la cuve. Pas l’opération la plus simple en raison d’une présence importante de gaz dans la cuve, ce qui accentué le risque d’explosion. Il a fallu que le garage Hautefeuille lève la citerne avant de poursuivre la manœuvre.Circulation totalement rétablie à 16 heuresUne fois le dépotage terminé, les policiers nœuxois ont d’ores et déjà programmé les constatations sur le camion et sur les lieux de l’accident durant une heure. Le camion a été relevé vers 14 h 30. Rouverte dans le sens Lens – Bruay dans un premier temps, la circulation est donc rouverte dans les deux sens. Plus vite que prévue grâce à la mobilisation des secours et des agents du conseil général qui ont nettoyé la chaussée. Juste à temps pour éviter les bouchons de fin de journée et une nouvelle galère pour les automobilistes après celle du matin.Vingt-six tonnes de white-spiritCe qui avait rapidement inquiété les secours, c’est la cargaison de la citerne : des matières dangereuses. Très vite le dispositif de secours s’est étoffé et d’importants moyens, tant humains que matériels, ont été mobilisés réunissant pompiers, policiers, agents du conseil général et dépanneurs. Les mesures de sécurité ont été renforcées quand les secours ont eu la confirmation de la nature de la cargaison : « 26 tonnes d’un liquide très inflammable, du white-spirit, expliquait le commandant Samuel Trupin à la tête des opérations de secours. Il y a un gros risque d’inflammation voire d’explosion ».

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BETHONCOURT (25) :il moleste deux pompiers et menace des gendarme avec une hache

Pompiers et gendarmes ont reçu un accueil bouillant, hier, impasse du Campe. Photo Francis REINOSO

Montbéliard. « Un homme menace de se suicider avec un couteau ». Tel est le motif de l’appel au secours émis par une dame et reçu par le Centre opérationnel d’incendie et de secours du Doubs, hier à 14 h, à Besançon.L’information est aussitôt répercutée à la caserne concernée. Les pompiers filent impasse du Campe, sur les hauteurs de Bethoncourt, où le désespéré est signalé. L’intervention sera aussi rapide que brutale. Les secouristes sont confrontés à un homme dans un état d’excitation extrême.Deux sapeurs-pompiers, un professionnel de 40 ans et un volontaire de 20 ans, sont alors physiquement agressés par un occupant de la maison.
En fin de compte, il a pu être maîtrisé pour être placé en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie avant d’être dirigée vers un établissement spécialisé.
Car manifestement, le trentenaire, récemment sorti de prison, souffre de troubles psychologiques. Comme en attestent ses antécédents.
Car il est loin d’être un inconnu des forces de gendarmerie. Il s’était notamment illustré en juin 2012, à l’occasion d’un rocambolesque rodéo avec ces mêmes militaires.
Une folle course poursuite entamée dans les rues de Bethoncourt qui s’était prolongée sur une cinquantaine de kilomètres, via l’A36, à plus de 150 km/h, s’achevant contre une glissière de sécurité à Burnhaupt, en Alsace, après avoir, au préalable, défoncé la barrière de péage de Fontaine.
Un gymkhana ponctué de coups de volant dès que la voiture de gendarmerie montait à sa hauteur et qui s’était soldée par de gros dégâts matériels.
En septembre 2012, le tribunal de Montbéliard avait condamné le chauffard à huit mois de prison dont quatre ferme. À la barre, le Bethoncourtois avait mis en avant « une maladie neurologique ». À l’évidence, le mal n’a pas été traité comme il aurait dû.

Récemment sorti de prison

28 janvier 2014

Sapeurs-pompiers de Rennes. exercice au pôle Saint-Hélier

Les pompiers s'entrainent autour des bâtiments, situés en plein centre-ville.

Les pompiers effectuent ce matin des manœuvres au Pôle médical Saint-Hélier, en centre-ville de Rennes.Les passants ont cru à début d’incendie, ce matin. Plusieurs véhicules de sapeurs-pompiers étaient déployés à l’angle de l’avenue Louis Barthou et de la rue Saint-Hélier, non loin du Théâtre national de Bretagne.En fait, il s’agit d’un exercice. Les pompiers s’entraînent autour du Pôle Saint-Hélier, un pôle de médecine physique et de réadaptation mais aussi un site sensible, du fait de sa situation. Ses bâtiments abritent plusieurs centaines de patients en plein centre-ville de Rennes.

25 janvier 2014

collision mortelle en sarthe

la collision s'est produite mercredi 22 janvier vers 15h30, sur la D306 à crosmières, prés de la Flèche, dans la Sarthe. Un poids lourd et une camionnette se sont percutés de plein fouet. le conducteur de la camionnette âgée de 57 ans et décédé sur les lieux de l'accident. le poids lourd, voulant éviter l'automobiliste se déportant sur sa voie , a terminé sa course dans le faussée le chauffeur n'est blésé.

Les équipages de la Sécurité civile craignent un démantèlement des bases montagne

Hélicoptère de la Sécurité civile en intervention en station, en février 2013. Un syndicat de personnels navigants craint  la fermeture prochaine de certaines bases et le transfert progressif «de ce vecteur de secours gratuit au profit d’opérateurs privés très coûteux et aux motivations financières cachées». Photo d’archives Dauphiné Libéré/D.M.

La petite base avancée de la Sécurité civile d’Huez ne sera peut-être plus qu’un souvenir dans quelques années, voire quelques moisDurant les saisons d’été et d’hiver, l’un des hélicoptères de la Sécurité civile rattachés à la base du Versoud stationne en effet sur l’altiport d’Huez et permet, en coordination avec le poste du secours en montagne, de projeter rapidement des équipes du PGHM, de la CRS Alpes et du Samu en intervention.Selon Dominique Richard, membre du bureau national du Syndicat national du personnel navigant de l’aéronautique civile-Groupement hélicoptère (SNPNAC-GH), il existe actuellement au plus haut niveau « une réflexion visant à désengager la Sécurité civile du secteur montagne, dans l’optique d’une “rationalisation des moyens”.
Dans un communiqué national, le SNPNAC explique avoir demandé audience à Manuel Valls pour « évoquer le démantèlement prévu de la flotte des hélicoptères de secours (...) en la réduisant bien en dessous des capacités opérationnelles que l’on doit à la population française”. Si l’organisation est aussi alarmiste, c’est qu’elle craint la fermeture de certaines bases

14 janvier 2014

Verglas. Un pompier de Plumaugat blessé en allant sur un accident

Le flanc gauche de la voiture du pompier, de marque BMW, témoigne de l'impact contre le mur.

Sa voiture aurait glissé et a heurté un mur, à l'entrée du bourg.Un pompier volontaire de 31 ans a été gravement blessé dans un accident ce matin, à l'entrée du bourg de Plumaugat (Côtes-d’Armor), sur la route de Caulnes. L’accident s’est produit alors qu'il répondait à l’appel de son bip.Sa voiture aurait glissé sur du verglas et a percuté un mur. Souffrant d’un traumatisme facial et crânien, il était inconscient et a été transporté à l’hôpital de Saint-Brieuc par ses collègues pompiers de Plumaugat.Cinq personnes ont été légèrement blessées dans l’accident de Caulnes. Elles ont été conduites à l’hôpital de Dinan.

13 janvier 2014

Un incendie fait deux morts, des pompiers qui passaient évitent un bilan plus lourd encore

Le bilan de cet incendie aurait pu être beaucoup plus lourd sans une coïncidence qui a fait se croiser ce soir-là un véhicule des pompiers et... un incendie. En rentrant d'une autre intervention vers minuit, une ambulance de ces soldats du feu a aperçu sur son chemin de la fumée sortant de deux appartements à Valenciennes, dans le Nord. Les ambulanciers, qui avaient leur tenue de feu, ont pu prendre en charge des personnes avant l'arrivée de renforts. Mais ils n'ont pu empêcher deux décès : un homme et une femme, âgés d'une trentaine d'années.
Sans cette intervention, "il y aurait certainement eu beaucoup plus de victimes huit personnes ont été évacuées" au total. "Ces huit personnes sont indemnes et ont été prises en charge pour leur relogement par la mairie.En ce qui concerne les personnes décédées, on n'a aucune information sur leur identité, on ne peut même pas dire si elles sont de la même famille. Sur l'origine (de l'incendie) on ne peut strictement rien dire" même si la piste accidentelle est privilégiée, a ajouté la préfecture.
Deux appartements ont été détruits par l'incendie mais tout l'immeuble, composé de douze appartements, est inhabitable, ont précisé les pompiers.

10 janvier 2014

Clermont-Ferrand : un mort dans un incendie d'immeuble



«Une dame voulait se jeter par la fenêtre. Des gens criaient. Des flammes sortaient par les fenêtres des appartements », raconte ce jeudi matin le gérant d'un établissement situé au rez-de-chaussé d'un immeuble de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) ayant pris feu dans la nuit de mercredi a jeudi . Tous les locataires semblaient avoir pu évacuer les lieux mais, au petit matin



les sapeurs-pompiers ont découvert le corps d'un jeune homme d'une vingtaine d'année,  dans le terrible .

Le bâtiment est entièrement détruit.
Le feu s'est déclaré vers 1h30 au premier étage de cet immeuble de la rue des Jacobins, rapporte le journal La Montagne. Les flammes se sont ensuite propagées dans la cage d'escalier. 
«Le feu couve encore dans les planchers», précisait à l'aube le lieutenant Grellet, chef de groupe sur cette opération. A ce moment là, la vingtaine de pompiers sur place n'avait pas encore fait la macabre découverte. C'est dans les décombres que les secours ont trouvé le corps de la jeune victime.

Circulation : quand les pompiers voient rouge

Les pompiers sont naturellement prioritaires dans le trafic mais du côté de la caserne Jacques-Vion, allées Charles-de-Fitte, plusieurs éléments de grogne remontent à la surface.«Il y a beaucoup de circulation sur les allées Charles-de-Fitte, le trafic est moins fluide qu’avant, constate le colonel Patrick Toufflet, directeur du Service départemental d’incendie et de secours (Sdis) et de plus en plus d’automobilistes utilisent la contre-allée pour éviter les bouchons de l’artère.» Problème

Les pompiers de la caserne Vion sont exaspérés des embouteillages qui les empêchent de circuler normalement. / Archives DDM si l’avenue est équipée de feux tricolores qui passent au rouge dès qu’une sortie des pompiers est effectuée, il n’y a pas de tels feux sur la contre-allée. Les sapeurs pompiers qui sortent de leur caserne se retrouvent donc de plus en plus confrontés à l’irruption d’un véhicule sur leur gauche, d’où le risque pointé, la priorité restant la sécurité, malgré l’urgence du départ. «Nous sommes en train d’évaluer le problème avec la mairie de Toulouse, . Le chef de centre de la caserne Vion travaille notamment avec la police municipale». Des solutions devraient être trouvées rapidement, peut-être des feux sur la contre-allée, pour résoudre ce problème : «L’objectif reste d’éviter les accidents» souligne le colonel Toufflet. Théoriquement, les services de secours ont la possibilité de circuler sur la voie du tram, explique la Smat (Société de la mobilité de l’agglomération toulousaine) en l’empruntant notamment à son début. Mais en pratique, c’est une autre chanson, relèvent les pompiers, notamment quand ils se retrouvent coincés au milieu du pont. Du coup, pas très chauds pour circuler sur l’emprise du tram pour des raisons de sécurité, les pompiers préfèrent aujourd’hui choisir d’autres plans de route pour contourner le pont, ce qui allonge le temps d’arrivée sur les sites d’intervention, regrettent-ils.

4 janvier 2014

Des pompiers victimes de viollence lors du réveillon

Le camion des pompiers a été caillassé. DR

Deux sapeurs-pompiers de Strasbourg ont échappé à un guet-apens la nuit du réveillon. Ils ont porté plainte auprès de la police ce vendredi.


Les deux hommes avaient été appelés vers minuit sur les lieux pour un feu d’appartement, qui s’est avéré être une fausse alerte, dans le quartier du Neuhof à Strasbourg. Arrivé rue Schach, leur véhicule a été la cible de tirs de projectiles en tout genre, pierres, mortiers, qui ont frappé le pare-brise avant, les vitres des portières latérales de la cabine du camion et la carrosserie. Selon les deux pompiers, une cinquantaine de personnes cagoulées ont participé à cette attaque.

2 janvier 2014

Pyrénées-Atlantiques : les pompiers ont effectué 116 interventions durant la nuit du réveillon

Pyrénées-Atlantiques : les pompiers ont effectué 116 interventions durant la nuit du réveillon

Trois voitures ont été incendiées dans la nuit de la Saint-Sylvestre, à Pau, entre 23 h 30 et 1 h 40 dans le quartier de l'Ousse-des-Bois. Des incidents signalés à Saragosse n'ont pas été confirmés par les services de l'État. Accueillis par des jets de pierre, les pompiers ont dû intervenir sous la protection de la police.Sur les routes du département, les 38 contrôles d'alcoolémie ont débouché sur 25 résultats positifs. Au total, les sapeurs-pompiers ont effectué 116 interventions. Une personne victime d'un coup de couteau a été transportée à l'hôpital de Pau, mercredi matin. Cinq accidents de la circulation ont eu lieu. Ils ont fait quatre blessés, dont un grave au Pays Basque.

un phoque pour le reveillon mignion mais atention

Mardi, l'équipe de garde des sapeurs-pompiers  a récupéré un bébé phoque échoué sur la plage de Pors-Scarff en Plougrescant.


L'équipe de garde des sapeurs pompiers de Tréguier, pour le réveillon de la Saint-Sylvestre, vient de prendre son service mardi soir quand vers 18 h,
alertent pour " un bébé phoque échoué sur la plage à Pors-Scaff en Plougrescant".

Les sauveteurs côtiers se rendent sur place et demandent du renfort et des équipements pour prendre en charge le jeune mammifère.Après avoir mis le phoque dans une caisse, les pompiers attendaient encore, mercredi après-midi ,l'arrivée des spécialistes d'Océanopolis, avertis, pour le récupérer, et lui donner des soins si nécessaires.      

Après avoir été réhydraté, le bébé phoque sera pris en charge par les spécialistes d’Océanopolis.

Les pompiers de mauvais poil

Les sapeurs-pompiers de l'Oise n'ont plus le droit de porter la barbe. L'un d'eux, basé à Thourotte, en a fait récemment les frais. Sa hiérarchie rappelle qu'il en va de sa sécurité.

Le port de la barbe est interdit pour toutes les personnes susceptibles d'intervenir à l'aide d'un appareil respiratoire isolant.

« C'est hallucinant, j'ai vu un pompier couper une moustache de vingt ans pour ces bêtises », confie un soldat du feu. À Thourotte, plus un poil ne dépasse dans les rangs après l'affaire du collier de barbe. Le chef de centre a estimé que l'agent ne respectait pas le règlement intérieur : « Le port de barbe est interdit pour toutes les personnes susceptibles d'intervenir à l'aide d'un appareil respiratoire isolant (ARI) », explique-t-on à la direction du SDIS  de l'Oise.
Le pompier au collier de barbe a lui aussi réalisé ces tests, avec succès, mais cela n'a pas suffi à convaincre sa hiérarchie. Refusant de se raser, le pompier s'est vu retirer ses habilitations pour partir en intervention durant un mois. « Les camions sont donc partis en intervention en sous-effectif, les plannigs ont dû être modifiés, provoquant l'ire de ses collègues, obligés eux aussi de se raser », .
Le Thourottois, menacé d'un refus d'obéissance, a fini par sacrifier ses poils, pour apaiser la situation. À la caserne de Compiègne, les pompiers ne l'entendent pas de cette oreille. Certains barbus, depuis plusieurs années, sont entrés en résistance. 
 
La semaine dernière, les organisations syndicales ont rencontré la direction pour mettre le sujet sur la table. « C'est complètement absurde comme situation. C'est une atteinte à la liberté. C'est juste une question de sécurité ou un moyen de maintenir la pression ? », s'interroge Yannick Gossenet, du syndicat autonome des pompiers de l'Oise.
 après les fêtes: « On pourra éventuellement revoir le règlement intérieur, préciser ce qui doit l'être », conclut la direction du SDIS.

. Le feu s'est déclaré dans la caserne de Thourotte (Oise), quand un pompier a été contraint de raser son collier de barbe, sa hiérarchie estimant qu'il en allait de sa sécurité.  même motif, même punition pour un agent de Beauvais, qui serait revenu de congés avec une moustache. Une note interne circulerait même dans la caserne.

 Ces masques respiratoires sont portés par les pompiers dans les situations de feu ou dans les atmosphères toxiques. « Avant chaque intervention, on les teste, pour vérifier si l'étanchéité fonctionne bien. Le port de la barbe ou du bouc n'a jamais posé de problème », rappelle Arnaud Lysak, secrétaire général de la CGT SDIS Oise.

 

1 janvier 2014

1er petite blague de l'année

hier soir ses dérouler le combat entre 2013 et 2014 . Le vainqueur auras le droit d'avoir sa photo dans le calendrier, voici le résultat.

  



2nd place

1er place