31 août 2014

Deux morts, dont un enfant, dans l'effondrement d'un immeuble à Rosny-sous-Bois

DRAME - Au moins un enfant et une personne âgée ont trouvé la mort dimanche matin dans l'effondrement d'un immeuble de quatre étages à Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Une explosion s'est produite peu avant huit heures du matin. La piste d'un accident dû au gaz est envisagée.


Douze personnes ont été blessées, dont trois grièvement, et 9 personnes étaient portées disparues - 4 adultes et 5 enfants. La personne âgée, une octogénaire ensevelie sous les décombres, est décédée malgré les tentatives des pompiers de l'en extraire. Deux survivants ont en outre été secourus grâce aux équipes de recherches accompagnées de chiens. Le sinistre a mobilisé 10 véhicules du Samu et plus de 130 sapeurs-pompiers venus d'une quarantaine de casernes.
 "D'autres victimes éventuelles sont recherchées" dans les décombres, et le plan rouge, qui permet l'organisation d'un dispositif de secours d'urgence avant l'hospitalisation des victimes, a été déclenché, selon un porte-parole des pompiers de Paris. Les secours devaient procéder avec prudence lors du déblaiement des décombres puisque, selon la municipalité, "le reste de l'immeuble menace de s'effondrer". Toutefois, Bernard Tourneur, le colonel des pompiers, ne cachait pas à la mi-journée son espoir de trouver des survivants dans les décombres, "la structure du bâtiment" étant "plutôt favorable". Les recherches pourraient durer 24 à 48 heures.

Un terrible drame a frappé Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) dimanche. Un immeuble d'habitation de 4 étages s'est effondré, avenue Jean-Jaurès, tuant au moins un enfant de 8 ans et une personne âgée. Une explosion qui s'est produite vers 7h30 du matin serait à l'origine du sinistre, la piste d'un accident dû au gaz étant d'ores et déjà envisagée même si les pompiers ont indiqué, à ce stade, ne pas connaître l'origine de l'explosion.

28 août 2014

VENDÉE : 4 PERSONNES D'UNE MÊME FAMILLE FAUCHÉES PAR UN VÉHICULE

Un grave accident de la circulation s'est produit ce mercredi 27 août à Saint Jean de Monts, une personne est décédé et 3 autres sont gravement blessés.Après la série d'accidents graves sur les routes Vendéennes le premier week-end d'août, un nouveau drame s'est produit en fin d'après-midi hier à Saint Jean de Monts. 

À 19h, un véhicule fauche en pleine rue une famille d'estivants, place de l'église.  Quatre victimes sont à déplorer, la grand-mère décède sur le coup, la mère de famille âgée de 37 ans, a unejambe sectionnée et ses deux enfants, un jeune garçon de 11 ans et une fillette de 5 ans sont gravement blessés, leur pronostic vital est incertain. 
Le conducteur est un homme de 74 ans domicilié sur la commune circulait avec son épouse, il aurait perdu le contrôle de sa voiture sans pouvoir le stopper. D'importants moyens de secours ont été dépêchés sur place, 4 véhicules de secours et d'assistance aux victimes et 1 véhicule de secours routier, des centres de secours deSaint Jean de Monts et de Challans, soit un total de 20 sapeurs-pompiers complétés par deux équipes duSAMU dont l'Héli-smur de La Roche sur Yon.   Les enfants sont transportés au centre hospitalier universitaire de Nantes et la mère de famille au centre hospitalier départemental de La Roche-sur-Yon. 
Le directeur de cabinet de la Préfecture de la Vendée, ainsi que le maire de Saint Jean de Monts se sont rendus sur place.  

27 août 2014

3 000 pompiers et secouristes mobilisés à Hiroshima

Dix-huit personnes sont toujours portées disparues, une semaine après de terribles glissements de terrain survenus à Hiroshima. La catastrophe a fait déjà au moins 70 morts dans cette ville du sud-ouest du Japon, selon le dernier bilan. Les chances de retrouver des survivants sont désormais considérées comme nulles, d'autant que la tâche sur le terrain est compliquée par de fréquentes pluies et les difficultés à accéder en certains lieux où se sont accumulés des décombres. Quelque 50 éboulements de rochers et de coulées de terre détrempée s'étaient produits une semaine auparavant, détruisant, partiellement ou totalement, des centaines d'habitations. 
Jusqu'à plus de 3 000 professionnels (pompiers, policiers, soldats, experts des désastres), aidés de bénévoles, se sont mobilisés pour tenter de secourir les habitants pris au piège en pleine nuit, mais sans avancer aussi vite que souhaité.
Jusqu'à plus de 3 000 professionnels (pompiers, policiers, soldats, experts des désastres), aidés de bénévoles, se sont mobilisés pour tenter de secourir les habitants pris au piège en pleine nuit, mais sans avancer aussi vite que souhaité.

Jusqu'à plus de 3 000 professionnels (pompiers, policiers, soldats, experts des désastres), aidés de bénévoles, se sont mobilisés pour tenter de secourir les habitants pris au piège en pleine nuit, mais sans avancer aussi vite que souhaité.Plus de 1 400 résidents des arrondissements d'Asaminami et d'Asakita, les plus touchés, sont toujours hébergés dans des gymnases, écoles, et autres refuges. Les ordres d'évacuation concernent toujours plus de 4.000 personnes et les recommandations  de quitter des quartiers menacés en visent environ 150 000.

26 août 2014

Annemasse : ivre, il éjecte un pompier de l’ambulance !


Au petit matin du samedi 23 août, les sapeurs-pompiers de Haute-Savoie sont requis pour prendre en charge un individu qui saignait de la tête, suite à une rixe. 
Après avoir fait le bilan de la victime et lui apporter les premiers soins, ils le conduisent au Centre hospitalier d'Annemasse. 
Mais alors que l'ambulance se trouvait sur la voie rapide, l’homme s’est violemment agité dans le véhicule de secours avant de menacer un sapeur-pompier. Puis soudain, l’individu a bousculé les soldats du feu puis ouvert la porte arrière du véhicule et tenté de sauter en marche. Lors de sa chute il a attrapé le bras d'un pompier, l’entraînant sur la chaussée avant de prendre la fuite. 
Finalement, les policiers ont retrouvé le fuyard un peu plus tard, en état d'ébriété et blessé à la tête. Il a été placé en garde à vue pour violences. Le pompier blessé au bras droit lors de sa chute, a quant à lui été transporté à l’hôpital et a déposé plainte.

22 août 2014

Les pompiers s’offrent une grande échelle taillée pour les rues étroites du centre et du Vieux-Lille

Les difficultés d’accès de la grande échelle des pompiers dans certaines rues étroites du Vieux-Lille et du centre-ville sont désormais révolues. Le centre de secours de Malus, qui couvre ces quartiers, peut s’appuyer depuis la semaine dernière sur un nouvel engin dernier cri : l’EPC (Échelle pivotante à mouvements combinés).

                         Elle a servi pour la première fois le 15 août lors d’un feu de toiture . Principal atout, elle est moins longue, d’environ 1,5 mètre, que la précédente grande échelle. « Le rayon de braquage plus court permet d’aller dans des rues où on ne pouvait pas se rendre avant, se félicite le capitaine Thierry Dermineur, chef de la caserne Malus. Rue de la Terrasse Sainte-Catherine par exemple, une simple voiture mal garée nous empêchait de passer. Rue Doudin, on ne pouvait même pas y entrer. »


Les problèmes d’accessibilité concernaient ainsi surtout les secteurs autour de la cathédrale Notre-Dame de la Treille, de l’église Sainte-Catherine et des Galeries Lafayette. Les pompiers pouvaient néanmoins y faufiler d’autres équipements. « Mais le délai de mise en œuvre était plus long. » Comme sa devancière, la nouvelle grande échelle peut se déployer jusqu’à trente mètres de haut.


Bourrée d’électronique, elle dispose d’outils de pointe supplémentaires. Dans des cas extrêmes, la présence de pompiers n’est plus nécessaire dans la nacelle. La lance qui y est installée peut être utilisée à distance à l’aide d’une télécommande. De plus, des détecteurs de champ magnétique sont censés éviter un drame comme celui survenu en 2011 près de Nantes : deux pompiers éteignant un incendie sur une grande échelle avaient été électrocutés par une ligne à haute tension.


Dans la métropole, les centres de secours de Tourcoing et Marcq-en-Baroeul ont eux aussi été dotés de ce même modèle de grande échelle high-tech, qui a coûté 507 000 € l’unité au SDIS (Service départemental d’incendie et de secours). « Très peu de villes en France en ont », souligne  le Cne ( Capitaine ) Dermineur.T

Une rencontre inoubliable

Quatre résidant de la MAS (Maison d' Accueil Spécialisée) Malleville à Pennautier, accompagnés de professionnels et d'une stagiaire, ont été accueillis à la caserne des sapeurs-pompiers de Castelnaudary (Aude).


 Pilote de cette belle initiative, un sapeur-pompier volontaire, en formation aide médico-psychologique (AMP) à la MAS, a mis en place, dans le cadre de son projet d'animation, cette rencontre afin de faire découvrir le monde des soldats du feu à ces personnes. Ce rêve pour certains a été rendu possible grâce au travail, en collaboration entre les professionnels de la MAS et le SDIS (Service Départemental d'Incendie et de Secours)  de l'Aude. Au programme : visite de la caserne, découverte des véhicules d'intervention, essayage des tenues de feu et utilisation de lances à eau.


Ce projet, qui a été soutenu en amont par Laurence Fournés, directrice de l'établissement de la MAS Malleville, et Olivier Vergé, chef de centre de la caserne chaurienne (récemment arrivé), rentre dans un contexte d'accompagnement de vie pour ces personnes en situation de handicap. La fonction d'AMP appartient à la filière de l'éducation spécialisée, son champ d'activité, à la frontière de l'éducatif et du soin, s'est considérablement élargi au fil des réformes. Dans le cadre de sa formation, l'AMP est encadré d'un tuteur de stage, présent ce jour-là mais aussi d'une équipe pluridisciplinaire comme des éducateurs spécialisés, des moniteurs éducateurs et d'autres personnels soignant.


Forte de ses 80 collaborateurs, la MAS Malleville a pour mission de mettre tout en œuvre pour satisfaire au mieux ses usagers et leur famille et rendre leur accompagnement plus performant. Après cette matinée instructive et après avoir immortalisé cette rencontre par quelques photos, les résidants ont pu profiter de leur repas en compagnie des pompiers. Le moment de la séparation est arrivé avec regret.

20 août 2014

Bastia: les pompiers en sous-effectif ne reçoivent pas de renforts, colère de la CGT

Samedi 16 août, les pompiers du centre de secours de Bastia se sont retrouvés en situation de sous-effectif sans que, selon la CGT, aucun renfort ne soit appelé. La direction aurait préféré diminuer le nombre de pompiers dans chaque véhicule d'intervention. Une décision qui a du mal à passer.
C'est un épisode que les pompiers du centre de secours principal de Bastia ont du mal à digérer. Samedi 16 août, les sapeurs-pompiers se retrouvent en sous-effectif: 15 agents contre 20, habituellement nécessaires pour assurer le service. Mais la direction, "au lieu d'appeler 5 agents en renforts" va "préférer diminuer le nombre de pompiers présents sur chaque véhicule d'intervention", indique la section CGT du Service départemental d'incendie et de secours de Haute-Corse.
"Ainsi peut on lire dans le communiqué de la CGT, le véhicule de secours routier était composé d'un équipage de deux agents alors que la réglementation en exige 3, et un engin de feu urbain comptait 4 agents au lieu 6 agents à son bord."


Point d'orgue en fin de journée, lorsque 3 pompiers sont envoyés "surveiller un feu d'artificice dans un village voisin." Le centre de secours se retrouve alors avec 12 hommes "en grave dysfonctionnement": il lui manque 40% de ses effectifs.


Plus qu'un accident, cet épisode est pour la CGT une preuve de plus que la direction du centre de secours "privilégie une logique financière au détriment de la sécurité des populations" et de celles des pompiers "contraints d'intervenir en sous effectif." Le syndicat interpelle le préfet de Haute-Corse, "responsable de la sécurité civile dans le département" pour qu'il garantisse "les moyens nécessaires" pour agir dans des conditions optimales de sécurité."

17 août 2014

À Laval (53) , un bateau coincé sur le barrage

C’est une intervention assez rare pour laquelle les SP lavallois ont été appelés aux alentours de dix-huit heures ce samedi : un bateau de location était coincé sur le barrage.

Parti d’Origné en direction de Mayenne, le bateau, loué pour quelques jours par une famille, a calé pour une raison indéterminée en quittant l’écluse située peu après le viaduc à Laval. Résultat : le bateau a dérivé, poussé par le courant, et s’est retrouvé à cheval sur le barrage. Appelés, les pompiers avec leur zodiac ont évacué la famille pour les ramener au bord où une cinquantaine de badauds assistait à l’opération. Avec l’appui de trois plongeurs, le bateau a pu lui aussi être ramené au bord sans problème. Au total, dix pompiers et cinq policiers ont été mobilisés.

14 août 2014

trois amis trouvent la mort en voiture

Trois jeunes âgés de 20 à 22 ans sont décédés dans la nuit de mardi à mercredi dans un accident sur la D13 au niveau de Seboncourt. Ils se trouvaient dans une Audi A6 qui s’est enroulée autour d’un arbre.

Le choc a été d’une effroyable violence. Même si la carcasse du véhicule n’a été retrouvée que quelques heures plus tard, il y a tout lieu de penser que Jordan Becquet, 21 ans et ses deux passagers James Lesueur, 20 ans et Julien Héry 29 ans, ont été tués sur le coup hier dans la nuit sur la D13 entre Bohain et Seboncourt.Le chauffeur, domicilié à Remigny, dans le canton de Moÿ-de-l’Aisne, avait son permis depuis un an environ. Son Audi A6 portait encire un « A » à l’arrière. Les trois jeunes arrivaient de Bohain et roulaient en direction de Seboncourt. A la sortie d’une légère courbe, il aurait perdu le contrôle de sa voiture, en témoignent les traces de pneus sur l’herbe. La voiture s’est ensuite déportée sur la gauche, continuant sa course trois cents mètres plus loin dans un bosquet.


La voiture retrouvée quatre heures plus tardLe véhicule a été stoppé par un gros arbre en bordure de route, près d’un champ. Le drame se serait produit vers une heure du matin. C’est à cette heure que les trois garçons ont pris la route vers Seboncourt. Personne ne les a revus vivants. « La compagne du conducteur s’était inquiétée de l’absence de son ami et avait appelé la gendarmerie », précise un proche des personnes décédées.


L’accident a été découvert vers 5 heures, par hasard, par des chasseurs. « Nous étions à quatre au travail pour la régulation des prédateurs, raconte un garde-chasse. On arrivait de Seboncourt et, en se garant sur la plate-forme, grâce à nos phares, on a aperçu une masse noire recouverte de branches. En passant de la route, on ne pouvait rien voir, tellement c’était touffu. On s’est approché et c’est là que l’on s’est rendu compte de l’horreur. »


Il a fallu plusieurs heures d’intervention de différents corps de métiers. Les médecins du SAMU de Guise étaient présents, les gendarmes ont procédé aux constatations d’usage en ouvrant une enquête approfondie, afin d’essayer de déterminer les circonstances exactes de cette tragique sortie de route.

12 août 2014

feu de végétation à Saint-Blaise

Les sapeurs-pompiers luttent depuis ce midi contre un feu de broussailles survenu sur la commune de Saint-Blaise (Nice)

Deux hélicoptères bombardiers d'eau ont procédé à de nombreux largages afin de contenir la progression de l'incendie, stimulée par le vent. A 12h45, on recensait un hectare et demi de végétation parcouru par les flammes. Aucune évacuation de villa n'avait été nécessaire mais plusieurs routes ont été temporairement coupées.
"Cela semble se calmer, grâce aux efforts des pompiers et au vent qui est retombé", rapporte à 13h Jean-Claude, un riverain qui a observé toutes les opérations. "C'est impressionnant de voir à quelle vitesse un petit feu a pris de l'ampleur lorsque le vent s'est levé."
A 14h30, les flammes étaient maîtrisées par les sapeurs-pompiers et les deux hélicoptères bombardiers d'eau quittaient la zone. 




9 août 2014

Vendée 115 interventions des pompiers ce vendredi

Depuis ce vendredi 8 Août au  matin, les pompiers sont appelés partout, en Vendée. Inondations, effondrements et accidents de la route sont à déplorer, à cause des conditions climatiques.
115. C'est le nombre d'interventions effectuées, depuis ce vendredi matin, par les sapeurs-pompiers vendéens, selon un bilan à 16 h 30.Dès 8 h, le   Sdis 85 (de la Vendée) a été appelé, dans la zone La Roche-sur-Yon/Saint-Gilles-Croix-de-Vie, pour une trentaine d'interventions. La raison ? Les dégâts causés par les conditions météorologiques.

résumé des interventions

À Brem-sur-Mer, deux campings (Le Brandais et L'océan), ont été inondés à hauteur de 50 cm d'eau. 350 campeurs étaient concernés et ont dû être déplacés, avant de retrouver, plus tard, leurs tentes. 13 résidents du camping "L'océan" doivent être relogés ce soir par la municipalité.Autre fait notable : l'effondrement du bardage d'une entreprise de stockage de produits de traitement de l'eau de piscines, à La Roche-sur-Yon, dont un stock important de chlore. Une émanation de vapeur de chlore pouvant faire craindre à un nuage toxique, les équipes spécialisées en détection bactério-chimique du Sdis 85 ont été engagées. Pas de toxicité à déclarer.Depuis 14 h, un second épisode orageux arrive de l'océan Atlantique par Les-Sables-d'Olonne et se déplace en direction de Fontenay-le-Comte. 85 opérations de secours ont dû être engagées, et des soutiens d'Avrillé, Jard-sur-Mer et Moutiers-les-Mauxfaits sont venus en aide.Enfin, sept accidents de la voie publique sont aussi à déplorer : deux à Bouin, deux à La Roche-sur-Yon, un à Challans, un au Château-d'Olonne et un à Fontenay-le-Comte.Cinq blessés graves et dix légers sont à dénombrer. 

3 août 2014

Un incendie a mobilisé 50 pompiers sur l'Ile d'Oléron

Deux entreprises conchylicoles qui emploient 30 personnes ont subi un incendie dans la nuit de vendredi à samedi sur la commune de Dolus-d'Oléron.

Deux entreprises conchylicoles ont été la proie des flammes cette nuit vers 2 heures.L'incendie s'est déclaré pour une raison encore inconnue mais l'extinction du feu a nécessité la présence de 50 pompiers.