Pompiers et gendarmes ont été appelés pour une «odeur suspecte»
endredi 29 novembre, vers 17h, de nombreux automobilistes du cours des Fossés ont ralenti, surpris par le déploiement de forces devant la sous-préfecture de Langon.
Un camion de pompier bientôt rejoint par un second et les gendarmes se trouvaient devant le bâtiment officiel sous le regard interloqué des passants.
« Une odeur suspecte »
L’accès au parking de la sous-préfecture avait été interdit. Un périmètre de sécurité a été établi. Et pour cause, le sous-préfet, Frédéric Carre, a fait évacuer les lieux suite à «une odeur suspecte». Personnel et public se sont alors retrouvés à l’extérieur.
L’odeur en question s’était propagée au premier étage du bâtiment. La sous-préfecture étant alimentée au gaz de ville, Frédéric Carre a craint une fuite. Le représentant de l’État a alors décidé d’appeler les gendarmes et les pompiers. Ces derniers après avoir établi un périmètre de sécurité, ont procédé à des relevés pour tenter de déterminer la nature de l’odeur. Gaz de France s’est également déplacé.
Finalement, l’émanation s’apparentait plus à des hydrocarbures.
Les pompiers, les gendarmes et GDF ont assuré que l’odeur ne provenait pas d’une fuite de gaz.
L’effluve pourrait provenir de carburant qui aurait été déversé dans les canalisations. L’odeur serait alors remontée jusqu’au 1er étage.
Environ une heure plus tard, le périmètre de sécurité était levé.et la circulation a pu reprendre normalement.
Vendredi 29 novembre, vers 17h, de nombreux automobilistes du cours des Fossés ont ralenti, surpris par le déploiement de forces devant la sous-préfecture de Langon.
Un camion de pompier bientôt rejoint par un second et les gendarmes se trouvaient devant le bâtiment officiel sous le regard interloqué des passants.
« Une odeur suspecte »
L’accès au parking de la sous-préfecture avait été interdit. Un périmètre de sécurité a été établi. Et pour cause, le sous-préfet, Frédéric Carre, a fait évacuer les lieux suite à «une odeur suspecte». Personnel et public se sont alors retrouvés à l’extérieur.
L’odeur en question s’était propagée au premier étage du bâtiment. La sous-préfecture étant alimentée au gaz de ville, Frédéric Carre a craint une fuite. Le représentant de l’État a alors décidé d’appeler les gendarmes et les pompiers. Ces derniers après avoir établi un périmètre de sécurité, ont procédé à des relevés pour tenter de déterminer la nature de l’odeur. Gaz de France s’est également déplacé. Finalement, l’émanation s’apparentait plus à des hydrocarbures.
Les pompiers, les gendarmes et GDF ont assuré que l’odeur ne provenait pas d’une fuite de gaz.
L’effluve pourrait provenir de carburant qui aurait été déversé dans les canalisations. L’odeur serait alors remontée jusqu’au 1er étage. Environ une heure plus tard, le périmètre de sécurité était levé.et la circulation a pu reprendre normalement.
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